Bio Bakkerij De Trog lance un pain au blé belge

Du champ à la boulangerie
Notre sol belge a beaucoup à offrir. Cela a donné à cinq partenaires l'idée de réaliser une nouvelle création de pain, à base de blé belge. Les meilleures matières premières biologiques ont été soigneusement sélectionnées et traitées de manière traditionnelle et équitable. Tout cela sur le sol belge, et à un pas l'un de l'autre. Ainsi, notre agriculteur, notre meunier, notre boulanger et notre distributeur se rencontrent au coin de la rue. Hendrik Durnez, directeur de Bio Bakkerij De Trog : « Le nouveau pain est biologique et plein de saveur, et repose sur une collaboration solide et axée sur les valeurs. L'économie locale, le respect, la biodiversité et l'artisanat pur sont au centre des préoccupations, et cela se ressent immédiatement ».
La biodiversité au premier plan
Le pain n'est pas fabriqué à partir de blé de boulangerie belge ordinaire. Pour ce projet, nous avons utilisé un croisement spontané d'une dizaine de variétés de blé. Il en résulte des froment de blé très diverses, qui peuvent également évoluer à l'avenir pour produire des combinaisons surprenantes. Hendrik Durnez : « La diversité des froment de blé représente donc une véritable valeur ajoutée pour notre biodiversité. Nous nous éloignons des monocultures, ne laissons aucune chance aux maladies et faisons le choix de méthodes de semis et de récolte écologiques».

Un pain qui rend hommage à tous les acteurs locaux
Le nouveau pain au blé belge respire le local. « Pour moi, ce pain au blé est la meilleure preuve de la grande valeur de l'agriculture biologique », déclare Lieven Delanote d'Inagro, l'un des 5 partenaires de cette collaboration.
« En outre, nous nous engageons à pratiquer une agriculture et une transformation biologiques. Nous sommes fermement convaincus que c'est le moyen de fournir une réponse résiliente aux défis auxquels nous sommes confrontés. Avec cette savoureuse création de pain, nous faisons déjà un pas dans la bonne direction, et nous plantons une graine pour l'avenir », conclut Hendrik Durnez.