Souhaitez-vous être propriétaire de votre outil de production ou profiter d'un outil performant et adapté à vos besoins?

La question a de quoi surprendre et c'est pourtant la réponse que se propose d'apporter le modèle d'économie de la fonctionnalité. On passe d'un modèle où on est propriétaire d'un bien à un modèle où on jouit du service rendu par ce bien…

Si on applique ce raisonnement à un outil de production (ou a une partie de celui-ci), on sait que le modèle traditionnel où l'entreprise achète cet outil représente un investissement conséquent. Mais si on conclut un contrat de service avec l'entreprise qui construit cet outil, qu'elle le dimensionne en fonction des besoins qui peuvent évoluer dans le temps, qu'elle en assure la maintenance (préventive et curative), qu'elle a toujours les pièces de rechange à disposition (évitant les arrêts de production non planifiés), que les techniciens qui interviennent sur la machine sont hautement qualifiés, … ce sont autant d'avantages pour votre entreprise!

Un arbitrage est cependant toujours nécessaire car ce modèle n'est pas LA solution ultime. Pour cela, il s'agit de se poser la question de ce qui est LE MIEUX, LE PLUS ADAPTE pour l'entreprise en tenant compte de sa stratégie, de ses ressources humaines et financières.

Les deux facteurs qui incitent à aller vers le recours à un service plutôt que la possession du bien sont avant tout économique (investissement important) et humain (pas de personnel formé à telle machine, maintenance compliquée) mais aussi juste la recherche d'une performance accrue, d'une fiabilité de l'outil de production. Toute cette démarche permet à l'entreprise de rester focalisée sur son coeur de métier.

Et vous savez quoi? Tous les services au sein d'une entreprise peuvent être passés en revue selon cette grille de lecture. Que ce soit l'imprimante, les voitures, les vêtements de travail en passant par le matériel informatique, …

Curieux d'en apprendre davantage sur la thématique de l'économie de la fonctionnalité? Rejoignez-nous le 31 mars prochain lors d'un webinaire coordonné par Amélie Gosset, notre référente économie circulaire/bas carbone.