Girl power : faites connaissance avec nos nouvelles expertes Imke et Carole

04.09.2019

Récemment, l’équipe Fevia a accueilli deux nouvelles collègues. Imke Van den Broeck et Carole Dembour viennent renforcer l’équipe en tant que Food Policy Advisor et Economic Advisor respectivement. Nous les accueillons à bras ouverts et leur laissons la parole.

Food Policy and Economisch Advisor Fevia_Imke Van den Broeck en Carole Dembour

Bienvenue, Imke et Carole ! Parlez-nous un peu de vous.

Imke : « Je m’appelle Imke Van den Broeck, je viens de Hoeilaart et j’ai une formation universitaire. J’ai été diplômée à la VUB en tant que bioingénieure. Après mon master, j’ai obtenu un doctorat où j’ai fait des recherches sur la biologie structurelle. Après quelques années de recherche fondamentale, j’étais prête pour un nouveau défi. C’est en ligne que je suis tombée sur l’offre d’emploi pour le poste de Food Policy Advisor chez Fevia. » Etant donné que la sécurité alimentaire est une priorité absolue pour l’industrie alimentaire, cette fonction me semblait être un défi passionnant. »

Carole : « Je m’appelle Carole Dembour et j’habite à Bruxelles. Outre le monde académique, j’ai pu goûter à d’autres domaines : le monde de l’administration publique, celui de la politique, et le monde patronal. En effet, j’ai commencé ma carrière en tant qu’assistante-chercheuse pendant 4 ans à l’université Saint-Louis, où j’ai obtenu mon doctorat en économie. Ensuite, j’ai travaillé pendant 7 ans au Cabinet du Ministre bruxellois de la Recherche scientifique. J’ai ensuite travaillé au SPF Finances pendant un an (pour quand même utiliser mon graduat en sciences fiscales). Enfin, j’ai été Economic Advisor pendant environ 6 ans à la Fédération des entreprises de Belgique, où je travaillais sur les prix, les salaires et la compétitivité. »

Que faites-vous de vos journées en dehors des heures de travail ?

Imke : « L’alimentation a aussi sa place dans mon temps libre. Je trouve qu’il est important de manger de façon variée et équilibrée. C’est pour ça que j’aime bien essayer de nouvelles choses, que ce soit au restaurant ou dans ma cuisine. De plus, j’adore faire de l’aérobic-pilates ou aller courir, mais maintenant qu’il y a un petit à la maison, c’est difficile de reprendre le sport. »

Carole : « J’aime bien lire, mais difficile de lire plus d’un chapitre à la fois avec des enfants en bas âge. Dès que je trouve un petit moment, j’essaye, comme Imke, de faire du sport. J’ai joué pendant longtemps dans l’équipe nationale de hockey. Avec mon équipe, nous étions à deux doigts de participer aux Jeux olympiques. Aujourd’hui, mon agenda personnel est très différent. Ça ne veut bien sûr pas dire qu’il est pire, au contraire. »

Quelle raison vous a poussées à travailler dans le secteur le plus savoureux du pays ?

Imke : « Pendant des années j’ai travaillé pour l’université. J'admire les gens qui peuvent travailler assidument et patiemment à la recherche fondamentale. Personnellement, j'ai remarqué que j'avais besoin d'explorer d'autres horizons. Travailler dans l'industrie alimentaire a une importance sociale. Grâce à mon nouveau poste de Food Policy Advisor, je peux établir de nombreux contacts et créer des liens avec des stakeholders externes. C’est très enrichissant. »

Food Policy and Economisch Advisor Fevia_Imke Van den Broeck en Carole Dembour.jpg

Carole : « J’ai entendu dire que Fevia cherchait un nouvel Economic Advisor. Je me suis alors renseignée. Le secteur alimentaire est un secteur progressiste et innovant, ce qui m’a énormément séduite. Travailler pour l’industrie alimentaire est très visuel. On sait ce qu’elle soutient et ce qu’elle fait. J’avais également envie de travailler sur des dossiers plus larges, comme le développement durable, la mobilité. »

Quelle a été votre première impression chez Fevia, de l’équipe et du secteur ?

Imke : « J’ai commencé chez Fevia le 1er août. Les collègues sont très ouverts et j’ai tout de suite su que je pouvais être moi-même. C’est très rassurant. L’équipe Fevia est très diversifiée et est constituée de diététiciens, d’ingénieurs, de juristes, de linguistes, de communicateurs. C'est chouette de pouvoir travailler avec différents profils. »

Carole : « J’ai toujours pensé qu’il y avait plus d’hommes dans le secteur industriel. Mais Fevia m’a immédiatement prouvé le contraire. Ma première impression a été : « Beaucoup de femmes travaillent chez Fevia! » Le bureau de Fevia est un open space, ce qui permet de facilement adresser la parole aux collègues pour des questions. Lors de ma deuxième journée de travail, j’ai déjà pu faire une visite d’entreprise chez Puratos, ce qui était très instructif. C'est très inspirant de constater à quel point le secteur est innovant en matière de digitalisation et d’automatisation. C’est pourquoi j’ai hâte de participer à Food Connections, l’évènement annuel de Fevia Wallonie et Wagralim. »

Merci pour cette agréable présentation. Une dernière question : pour quels dossiers et quels sujets les membres peuvent-ils se diriger vers vous ?

Imke : « Je reprends les dossiers de mon prédécesseur Sander Moonens. Nos membres peuvent me contacter pour tout ce qui est en rapport avec la sécurité alimentaire. Je suis donc aussi la personne de contact entre nos entreprises alimentaires et l’AFSCA, l’agence qui veille à la sécurité alimentaire dans notre pays. Les membres peuvent aussi me contacter pour des questions concernant les contaminants notamment, comme l’acrylamide par exemple. C'est une substance qui fait de temps en temps couler beaucoup d’encre dans les médias, mais pour laquelle l'industrie alimentaire travaille depuis des années à trouver des solutions, et ce avec succès. »

Carole : Je m’occupe de nos rapports économiques annuels, aussi bien celui de l’industrie alimentaire au niveau belge, que de ceux des industries alimentaires wallonne et flamande. De plus, je réalise des analyses sur la compétitivité, la fiscalité et les innovations du secteur. De manière plus générale, nos membres peuvent me contacter dès qu’ils ont besoin de statistiques. Enfin, je dirige le comité stratégique COSCRO avec ma collègue Tine Vandervelden. »