Herentals est historiquement connue comme la capitale de la région de la Campine, mais aujourd'hui, elle abrite également le siège européen de Griffith Foods, un producteur de mélanges d'épices, de sauces, de marinades et de nappagges. Griffith Foods place l'innovation et ses food heroes au premier plan et investit dès lors 3 millions d'euros dans l'expansion durable de son site de production en Campine. Le site de Herentals servira également de base pour l'exportation vers l'Europe de l'Est.
Adapté aux flexitariens
Non seulement la gamme de produits de Griffith Foods est diversifiée, mais l'équipe de 219 personnes de 20 nationalités différentes l'est également. A Herentals, les préférences gustatives nationales de leurs food heroes sont réunies. Ils disposent d'un vaste savoir-faire épicé de plus de 1 000 ingrédients, saveurs, structures et compositions de produits.
Ils utilisent ces connaissances dans le laboratoire de R&D pour créer de nouveaux produits ayant, par exemple, une valeur nutritionnelle plus élevée ou qui répondent à la tendance vers un régime alimentaire plus végétal. Par exemple, pensez à une version végétale du kibbeling ou des nuggets de poulet, composé d’une enveloppe croustillante avec une garniture végétale. « De plus en plus de consommateurs deviennent flexitariens. Nous voyons donc encore un grand potentiel de croissance dans le marché des légumes », déclare le directeur général Thomas Verrooten.
Exporter vers l'Europe de l'Est et la Russie
Depuis la Campine, Griffith Foods produit et exporte vers le Benelux, la Scandinavie et l'Europe de l'Est. L'entreprise a décidé d'explorer davantage les opportunités dans cette dernière région. C'est pourquoi le producteur ouvre un bureau en Pologne, leur permettant ainsi de prendre du terrain dans le marché de l'Europe de l'Est.
En 2020, Griffith Foods a déjà investi 1,6 million d'euros dans l'ergonomie et l'amélioration de la sécurité de ses 219 Food Heroes. En outre, cet investissement durable a également permis de réduire les coûts énergétiques. De plus, le producteur de denrées alimentaires prévoit de dépenser 3 millions d'euros pour la construction d'un entrepôt d'emballage indépendant : « Nous espérons pouvoir poursuivre notre croissance même après la crise du coronavirus », déclare Thomas avec d’espoir.
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